À la découverte d’Exil Factory

À la découverte d’Exil Factory

Le 3 décembre prochain aura lieu la dernière warehouse de l’année d’Exil Factory. Pour l’occasion on a pu rencontrer Hicham le fondateur du collectif. De quoi en découvrir un peu plus sur ceux qui vous feront danser au début du mois de décembre !

Question : Exil est l’un des plus vieux collectifs parisiens. En 6 ans Exil Factory en a vu des danseurs ! Quelle est l’édition qui vous a le plus marqué et pourquoi?  

Exil : l’édition qui m’a le plus marqué est la toute première, c’était incroyable… ce petit collectif qui sort de nulle part qui invite The Driver aka Manu le Malin et DNGLS (aka Maxime Dangles) en live dans un Glazart full… il y en a eu des plus grandes avec de gros noms mais c’est à partir de cette soirée que l’histoire du collectif démarre et elle restera inoubliable.

Q : Comment décririez-vous votre public ? A-t-il évolué avec vous ? 

Exil : Notre public est à l’image de notre équipe : varié (toutes ethnies), de tout âge ⅓ de plus de 30 ans, ⅓ de 30 à 23 et ⅓ de 18 à 23 ans et toujours souriant et positif.

Q : Depuis la fin du premier confinement les warehouses se font plus rares. Qu’avez vous pensé de l’expérience du club à Paris ? Selon vous, quelle édition club a été la meilleure pour vos danseurs ? 

Exil : Nous avons commencé par des soirées en club durant un an, c’est pourquoi retourner en club est toujours très spécial pour nous… L’ambiance est différente, c’est moins grand, il fait plus chaud et le public est plus près des DJ… si je devais en garder une… ça serait la soirée à la Machine du Moulin rouge Exil avec Kobosil, VTSS, Airod etc… C’était incroyable !

Q : 1 mois et demi après votre anniversaire, vous êtes de retour pour une belle warehouse. Pour cette édition, vous avez booké des artistes principalement allemands. La techno berlinoise est-elle un choix pour cette soirée ? 

Exil : Nous avons des inspirations et goûts divers et variés mais il est vrai que notre directrice se rapproche beaucoup de la techno berlinoise… ceci est peut être dû au fait que nous allons souvent faire des soirées là-bas et que nous avons beaucoup d’amis artistes allemands… et bien sûr aufaite que les meilleurs soirées que l’on a fait sont pour une majeure partie là bas. Nous essayons donc de nous inspirer.

Q : Quel conseil auriez-vous aimé entendre il y a 6 ans, lors du lancement de votre collectif ? 

Exil : Se concentrer sur Paris et la France avant de faire des évènements à l’étranger nous avons pu nous éparpiller par moment avec l’envie de grandir… le covid est tombé à pic pour nous sauver d’un naufrage.

Q : Un mot pour décrire l’évolution d’Exil Factory. ? 

Exil : L’évolution? le meilleur reste à venir !

Q : C’est votre dernière warehouse de l’année, quels sont vos projets pour 2023 ? 

Exil : continuer sur cette lancée et proposer des événements qualitatifs à notre cher public ! nous voulons que le public en ait pour son argent dans nos soirée c’est notre principale devise (artistes, show light, qualité de son, sécurité etc…)

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